En lice pour défendre son titre de champion d’Afrique de Sambo, dans la catégorie – de 100 kg. L’athlète Camerounais Seidou Njimoluh, s’est confié à notre rédaction pour parler de la préparation de cette compétition et l’état d’esprit du groupe.
Bon après-midi Seidou Njimoluh. Vous êtes champion d’Afrique et du monde de Sambo, vous allez prendre part aux 15e championnat de cette discipline sportive organisé au Caire en Egypte. Alors dites- nous, comment se passe la préparation et quel est l’état d’esprit qui règne dans la tanière à quelques jours de l’ouverture de la compétition ?
Bon après-midi et merci de l’intérêt que vous nous portez. Avant toute chose, je dois préciser que j’ai été champion d’Afrique avant d’être champion du monde en Sambo sport et en sambo combat. Alors dans l’ensemble, on reste mobilisé et focalisé sur la compétition, et nous sommes prêts à l’emporter de la plus belle des manières.
Quels sont vos objectifs pour cette compétition car, il faut le signaler que vous êtes le premier Africain champion du monde de Sambo et certainement l’une des plus grandes attractions lors de cette compétition.
L’objectif majeur est de conserver notre titre en individuel. Maintenant sur le plan collectif, l’objectif est de finir champion d’Afrique chez les hommes et conserver le titre chez les dames. L’année dernière, nous étions vice-champion par équipe chez les hommes et nous voulons faire mieux cette année.
Comment s’est faite votre préparation ? Sur quel aspect avez-vous travaillé avec votre encadrement ?
Nous avons eu deux stages. Un en externe qui a duré 3 à 4 mois. Période durant laquelle nous avons revisité toutes nos bases techniques, puis nous avons fait un stage interne où tous ensemble, nous avons beaucoup travaillé. C’est l’occasion pour moi de rendre hommage au staff médical qui nous a permis d’être en superbe forme. À quelques heures du Voyage, nous sommes focalisés sur les objectifs et nous en appelons au Chef de l’Etat et à son épouse pour nous soutenir et nous permettre de hisser encore plus haut le drapeau de notre pays, et tout ceci ne sera pas possible sans la bénédiction de très haut.
Merci d’avoir répondu à nos questions et bonne chance pour la compétition.
C’est moi qui vous remercie.
