Les lions sont rendus à leur septième participation à une phase finale de coupe du monde. Record pour un pays d’Afrique. Cependant, la tanière des lions a été sujets à plusieurs scandales qui on soit gâché la compétition des lions ou alors, ils se sont plus illustré en dehors des stades avec des scandales en a plus finir. Chaque Coupe du monde auquel les lions ont pris part depuis 2002 a fait l’objet de scandales avant pendant la compétition.
Le problème récurrent de primes
l’un des grands maux qui minent la sélection camerounaise de football à la veille de grande compétition en l’occurrence la coupe du monde est les primes. Si les joueurs se plaignent de la somme que le gouvernement s’accorde à leur donner, ceux-ci ne passent pas par quatre chemins pour les faire savoir. En 2002 a la veille du mondial coréen et japonais, le Cameroun s’est encore illustré par une histoire de primes qui n’a trouvé de solution qu’avec le règlement de ces dus. La suite de la compétition a été un échec cuisant pour une équipe séduisante qui sortait d’un doublé en coupe d’Afrique et surtout une équipe de rêve avec les Patrick Mboma, Lauren Etam Mayer et bien d’autres grands noms. Ce fut encore le cas en 2014, la dernière coupe du monde des lions indomptables. Le naufrage de ces derniers à commencer à Yaoundé lorsque le capitaine et actuel président de la fédération Samuel Eto’o refuse le drapeau national lors de la cérémonie d’au revoir, question de primes, il aura fallu céder aux exigences de ces joueurs pour voir le Cameroun embarqué pour le mondial brésilien après moulte discussion et grève orchestré par les cadres de l’équipe. Même si d’autres problèmes liés au bas du ventre viendront s’y mêler pour créer des bagarres dans le vestiaire et sur le terrain, l’une des grandes causes de cette édition fut ce ramdam autour des primes.
Le problème du capitanat
Pour la première et seule Coupe du monde organisée sur le sol africain, le Cameroun se présente en Afrique du Sud avec des rêves plein la tête. Un rêve de sacre qui se transformera en rêve de rentrer avec un petit point de cette compétition. La cause n’étant pas le niveau de l’équipe, mais bien un problème de brassard qui a divisé le vestiaire en deux. Le vieux lion Rigo capitaine depuis déjà 15 ans de cette sélection et qui était sur le départ s’est vu retirer le brassard au profit de samuel Eto’o au prime de son art et qui sortaient d’une saison exceptionnelle en club. choix qui s’est avéré assassin, car cette histoire de brassard a semé une pagaille au sein du vestiaire entre les joueurs cadres de cette sélection. Alex Song et son clan rangé derrière Rigo Song, et celui d’Eto’o au lieu de défendre les couleurs se sont beaucoup plus appesanties sur leur propre lutte interne. Inerte, incapable, Paul Legauen n’a pas pu etteindre l’incendue qu’il a allumé et le Cameroun sort au premier tour avec un bilan de 3 défaites en autant de rencontres. Contre le Japon, les Pays-Bas et le Danemark a porté des lions.
2022 avec l’équipementier
A quelque deux mois du coup d’envoi du mondial qatari, le Cameroun fait encore parler de lui, drôle de timing pour une équipe différente à la tête de la fédération camerounaise. Si le spectre de 2002, 2010 et 2014 planes sur le résultat du Cameroun avec des résultats approximatif en match de préparation. Les regards sont beaucoup plus tournés vers l’équipementier qui habillera le quintuple champion d’Afrique lors de la grande messe du football mondial. Véritable sujet de réflexions qui anime les commentaires des Camerounais dans les bars et les chaumières, qui de Coq sportif et One All Sport sera le grand vainqueur, même si l’exécutif de tsinga semble avoir un penchant pour la firme américaine, le coq français est déterminée à caqueter de toutes ses forces pour se faire entendre et cela passe par des rencontres au plus haut sommet de l’état du Cameroun, mais également à coup de plainte dans la juridiction française. Que Niet répond le lion de Tsinga qui pour lui entend donner au football camerounais un équipement digne qui saura consolider les acquis de la marque lions indomptables.
Au regard de tout ce qui précède, l’on est en droit de se poser la question, ne nous dirigeons pas vers un Corée-Japon 2002 ou de l’Afrique du Sud 2010 et pourquoi pas le fiasco du Brésil en 2014. Une seule chose est sûre, le Cameroun sera bel et bien présent et même si les arguments des lions sur le plan sportif semblent être moins élevés que les éditions précédentes, il en demeure pas moins que le rêve de l’équipe dirigeante de la Feacafoot croit à la chance du Cameroun de remporter cette compétition.