Les lions indomptables comme 31 autres nations ont pris part à la grande messe du football organisé au Qatar. 8 ans après leur dernière participation, les lions reviennent dans cette grande compétition et caressent le rêve d’un sacre comme le disait le président de la Fecafoot Samuel Eto’o Fils. Le résultat fut le même que lors des 5 dernières participations, élimination dès le premier tour.
Il y a plus de 20 ans que le Cameroun n’avait plus eu la joie d’engranger le moindre point dans cette compétition. Lors ce mondial Qatari, les lions indomptables portés par un Eric Maxim Choupo au sommet de son art et un Vincent Aboubakar bien inspiré ont créé la sensation et on fait revivre le temps d’une semaine le spectre de 1990 sur la nation tricolore. Une défaite face à la Suisse de Breel Embolo, un match nul face à la Serbie 3 buts partout et surtout une victoire à l’arraché sur le Brésil de Tité sur le plus petit score. Le Cameroun brille par intermittence sur le terrain, faisant preuve d’une résilience sans pareil face à la Serbie et au Brésil. Insuffisant pour continuer l’aventure.
Le cas Onana.
L’on est habitué aux frasques avec cette équipe et ce n’est pas l’arrivée de Samuel à la tour de Tsinga et de Rigobert Song sur le banc de touche qui a fait déroger l’habitude. Le gardien de but des lions s’est vu exclure de la sélection pour cas d’indiscipline,
Les lions ayant regagné Yaoundé, l’espoir demeure au sein de la grande population au vu des performances affichées par les lions. Leur esprit combatif, leur résilience soit enseignée dans des écoles à en croire les professionnels du métier.
Aboubakar c’est le dieu du football camerounais.
mais je pense qu’on aurait pu faire mieux à cette coupe du monde on étais dans une poule prenable. mais nous avons merdé gagné le match le plus difficile et perdu le match le plus facile.
bon article, j’adore courage au rédacteur
les lions nous ont doe du boom au cœur, Abouchou le meilleur du monde viens prendre tes 💕
c’est un pure régal de te lire mon frère et estimé collègue Idriss Jose LELE.