Des corps retrouvés sans vie dans des brousses et carrefours dans la région du Centre.
Depuis quelques moments,la population est menacée par des personnes sans foi ,perverses et malsaines.Des alertes circulent sur la toile,des avis de recherche foisonnent dans les commissariats.Des familles perdent les leurs sans savoir que ces derniers ont été tués et cachés dans des brousses ou des carrefours proches de leurs lieux d’habitation.
La gente féminine :cible principale de ces tueurs
Il y a quelques jours une jeune étudiante de l’Université de Yaoundé I était portée disparue,la jeune femme,âgée d’une vingtaine d’années, a été retrouvée le corps gisant dans une marre de sang ce matin au quartier Mimboman. Tout porte à croire qu’elle a été victime d’une agression. Le corps a été emporté par les sapeurs pompiers en direction de la morgue de l’hôpital Central de Yaoundé.
De plus, dans la localité de Monatélé dans la département de la Lekié, région du Centre. Une femme parti au champ a été retrouvée laminée, le corps en putréfaction avait été enterré nu.
au village Emana carrefour sur la route de Monatélé, le corps de Maman Nyebe a été retrouvé enfoui sous terre. Elle était partie au champ dans la matinée du 23 mars. Ne la voyant pas revenir, une battue va être organisée par sa famille. Son corps sera retrouvé deux jours après. Il était entièrement déshabillé et enfoui sous terre. Un jeune du village et un de ses fils en proie à des problèmes psychiques ont été interpellés par la gendarmerie descendue sur les lieux.
En 34 jours au Cameroun, une dizaine de femmes ont été retrouvées assassinées des mesures doivent être mises sur pied afin de mettre hors d’état de nuire ces hors-la loi qui sèment la terreur et la panique au Cameroun.
Qui tue réellement toutes ses personnes ?
Certaines sources révèlent que des jeunes accros aux stupéfiants,oisifs sans emploi pourraient être les première suspects de ces actes malsains.
Il convient pour le gouvernement camerounais de mettre sur pied des stratégies efficaces et efficientes telles que des comités de vigilances dans les quartiers en plus des forces de défense qui font ce travail de patrouille.