L’homosexualité érigée en norme universelle par les bailleurs de fonds et les grandes puissances

On a coutume de dire dans nos sociétés que la main qui donne est plus puissante que celle qui reçoit. Cela est d’autant plus que les pays dits « petits » à l’instar des pays de l’Afrique noire, subissent toute sorte de pression venant des supers puissances au nom de l’aide financière qu’elles apportent à ces Etats. Les pays africains subissent le diktat de l’ancien colon déguisé en pays amis, caché sous le prisme et le fallacieux prétexte de coopération entre pays amis et frères pour imposer leur vision du monde, étendre leur culture et également vider leur poubelle dans nos états, pire encore, imposer des mœurs étrangères aux nôtres à l’instar de l’homosexualité. Plusieurs penseurs et intellectuels s’accordent à dire que l’Afrique doit se départir de certaines pratiques obscènes en occurrence l’homosexualité devenue objet de chantage des pays développés sur ceux du tiers monde.

Point de vue

L’économiste camerounais Dieudonné Essomba affirmait sur le plateau de Club d’Élite: “La dépravation des mœurs dans notre pays de même que la pratique de l’homosexualité sont le fait du faible pouvoir économique de nos Etats africains” . D’après l’économiste, les pays africains en général et le Cameroun en particulier devrait investir et repartir équitablement les ressources du pays. Il continue en disant: “ si l’Occident nous impose l’homosexualité, c’est parce qu’il  sait que nous n’avons aucun moyen de refuser car nous sommes économiquement dépendants d’eux. Si nous avons bien réparti les 4 milles Milliards de franc que représente le budget du Cameroun de ces dernières  années, nous serions forts et nous aurions de quoi leur tenir tête car, nous serions économiquement forts”. cela n’est d’autant plus vrai que le Gabon a fait passer la loi sur la dépénalisation de l’homosexualité dans le pays au profit d’un financement de ses projets par une grande puissance. Au Cameroun, les réseaux et les lobbies  se construisent autour de ces pratiques obscènes et conditionnent l’accès de  certains services à ces pratiques contre nature. Ces dernières années, nous sommes allés de scandale à scandale sexuel, une  dépravation aggravée des mœurs sur toutes les strates de notre société. L’on se demande jusqu’où la main tendue de nos dirigeants envers les bailleurs de fonds et les pays développés va pourrir notre société déjà fragilisée.

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